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Appel à contributions

Les Arts croisés autour de l’eau – entre l’Orient et l’Occident

Les arts croisés autour de l’eau – entre l’Orient et l’Occident

L’eau, élément omniprésent et fondamental, traverse l’histoire de la pensée, de la science et de l’art, nourrissant l’imaginaire humain depuis des millénaires. Elle est la matière première du vivant, le symbole du temps qui s’écoule, le reflet du désir et de la mémoire, l’incarnation de la pureté autant que de la menace. À travers ce projet, nous vous invitons à explorer les mille facettes de l’eau en rédigeant un court texte littéraire sous forme d’essai ou poème d’une demi-page maximum. L’objectif est de créer une œuvre brève mais évocatrice, s’inscrivant dans une longue tradition où l’eau, sous toutes ses formes, devient le prétexte à une réflexion poétique ou narrative.

En Orient, et particulièrement dans la pensée chinoise, l’eau est l’un des cinq éléments fondamentaux (Wu Xing) et symbolise la souplesse, l’adaptabilité et la profondeur intuitive. Dans le Tao Tö King de Lao Tseu, l’eau est un modèle de sagesse : elle suit son cours sans résistance, épouse la forme des choses et triomphe par la douceur plutôt que par la force. En Orient, l’eau est souvent utilisée comme une métaphore de la vertu. D’après Lao Tseu : la bonté suprême est comme l’eau ; une grande vertu porte toutes choses. Cette vision s’oppose à celle, plus occidentale, d’une nature à dominer et à transformer. L’eau, en Occident, a longtemps été perçue comme un élément à canaliser, à maîtriser à travers des ouvrages hydrauliques et des digues, là où l’Orient la célèbre souvent dans son état brut, comme une leçon de patience et d’harmonie.

Dans les traditions hindoues et bouddhistes, l’eau est un purificateur essentiel. Les ablutions dans le Gange, fleuve sacré de l’Inde, témoignent d’un rapport intime entre l’eau et le sacré : se baigner dans ses eaux, c’est laver ses péchés et renouer avec le divin. En Islam aussi, l’eau est au cœur des rites de purification (wudu, ablutions avant la prière), rappelant son rôle fondamental dans l’équilibre du corps et de l’âme. Le christianisme, quant à lui, fait de l’eau le symbole du baptême, une renaissance spirituelle qui marque l’entrée dans la foi. De la même manière, dans la tradition gréco-romaine, l’eau des sources et des fontaines était consacrée aux dieux, utilisée pour les rites et les prophéties.

L’Occident a souvent cherché à maîtriser l’eau, à la plier aux besoins humains. Dès l’Antiquité, les Romains construisent d’immenses aqueducs pour alimenter leurs villes, tandis que la Révolution industrielle voit la multiplication des barrages et des réseaux d’irrigation sophistiqués. L’eau devient un moteur du progrès, un enjeu économique et énergétique central.

En Orient, la relation avec l’eau repose davantage sur l’adaptation. En Asie du Sud-Est, les rizières en terrasses témoignent d’une agriculture qui épouse les reliefs au lieu de les contraindre. De même, les maisons sur pilotis au Vietnam ou en Indonésie traduisent une cohabitation avec l’eau, où l’humain s’intègre au cycle naturel plutôt que de l’altérer.

Que vous soyez poète dans l’âme, amateur d’écriture ou simplement inspiré par les mystères de l’eau, ce projet est pour vous ! Nous vous invitons à créer un texte bref — poème, essai poétique ou forme libre — qui explore les multiples visages de l’eau : sa beauté, sa force, sa symbolique ou ses métamorphoses. Votre texte ne devra pas dépasser une demi-page (maximum 1600 caractères, espaces compris).  

Toutes les formes sont les bienvenues, y compris les créations graphiques comme les calligrammes ou les textes calligraphiés.  

 Le projet est ouvert à toutes et tous, partout dans le monde. Les étudiants seront mis à l’honneur. Vous pouvez écrire dans la langue de votre choix, à condition d’y joindre une traduction française que vous aurez réalisée vous-même.  

Laissez l’eau vous inspirer, laissez-la couler entre vos mots. À vos plumes !

Les contributions sélectionnées inspireront des participants à des ateliers artistiques qui les mettront en peinture et seront affichées avec elles (contributions littéraires et sa peinture associée) lors d’une exposition qui aura lieu à Clermont-Ferrand pendant le colloque international « Vie Aquatique » (23-25 septembre 2025) ayant lieu à l’Université Clermont Auvergne. 

L’appel à contribution est ouvert dès maintenant jusqu’au 15 juillet 2025.

Nous attendons vos propositions avec joie. Elles sont à transmettre à l’adresse : vieaquatique1506@gmail.com 

Comité d’organisation : Léa Contamine (GEOLAB), Ruike Han (CELIS), Anais Tahri (GEOLAB) & Alexandre Mora (CELIS/University of St Andrews).

Nous proposons plusieurs axes de réflexion pour orienter vos inspirations et sont loin d’être exhaustifs :

1.        L’eau, entre vie, technologie et chaos 

L’eau, omniprésente et plurielle, est à la fois source de vie, objet de fascination, puissance destructrice et enjeu technologique. Elle abrite un monde subaquatique foisonnant, peuplé d’organismes visibles et invisibles, et de formes de vie microscopiques. La littérature peut-elle rendre compte de cette complexité, donner voix à une méduse, un poisson ou un corail, et traduire les interactions silencieuses de ces écosystèmes fragiles ? Ressource précieuse, l’eau est aussi au cœur des défis techniques : depuis les aqueducs antiques jusqu’aux projets de dessalement et d’exploration spatiale, elle incarne la tension entre nature et artifice. Peut-on imaginer un futur où elle manque cruellement, ou bien une ère nouvelle alimentée par son abondance maîtrisée ? Pourtant, cette force vitale peut se muer en fléau : crues, tsunamis, tempêtes, fonte des glaces… L’eau détruit autant qu’elle nourrit. Elle dépasse l’humain, le confronte à sa propre vulnérabilité. Comment écrire cette ambivalence, exprimer à la fois la beauté et la violence de l’eau, ressource essentielle, force créatrice et destructrice, mystère profond et enjeu crucial pour l’avenir ?

2.     L’eau, entre errance et silence : géographie d’un lien universel

L’eau, dans sa dualité mouvante et stagnante, incarne à la fois le voyage et l’immobilité, le changement et la contemplation. Elle coule, s’évapore, ruisselle ou reste figée dans les eaux dormantes, symbolisant tour à tour la fuite du temps, l’élan du renouveau ou le poids du silence. Les rivières tracent des chemins à travers les paysages, sculptent la terre, transportent souvenirs, rêves et secrets, tandis que les marécages, les fontaines immobiles ou les douves figent le regard et éveillent des imaginaires teintés de mystère ou de mélancolie. L’eau relie autant qu’elle sépare : elle trace des frontières géographiques – entre continents, entre cultures – mais elle est aussi vectrice de rencontres, comme en témoignent les grandes routes maritimes qui ont relié l’Orient et l’Occident, portant avec elles des flux de biens, d’idées, de croyances. L’eau est un bien commun, un espace partagé par-delà les appartenances, révélant dans ses mouvements comme dans ses silences la diversité des rapports humains au monde, entre maîtrise, abandon et rêverie.

3.     L’eau, la philosophie et les sciences humaines et sociales : réflexions sur un élément insaisissable

L’eau inspire depuis toujours les penseurs : Héraclite et son célèbre aphorisme « On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve », Lao Tseu et la souplesse du Tao comparable à l’eau… Elle est paradoxale : douce et violente, vitale et destructrice, pure et souillée. Elle interroge le rapport entre l’humain et le cosmos, entre la matière et l’esprit. Peut-on faire de l’eau un support de méditation poétique, un espace où se cristallise une pensée existentielle ? Comment traduire cette dualité en écriture ? Quel regard poétique ou philosophique poser sur cet élément insaisissable ?

4.     L’eau et la mémoire : portes d’un passé englouti

L’eau conserve et transporte les souvenirs. Les larmes portent le poids des émotions, les fleuves charriant des histoires anciennes, la mer renfermant des vestiges de civilisations disparues et gardent les épaves des bateaux, la pluie évoque parfois le souvenir d’un amour perdu… L’eau est un miroir du passé, un véhicule de la mémoire individuelle et collective. Comment retranscrire, à travers elle, les échos d’un temps disparu, les souvenirs qui affleurent à la surface ? Comment peut-on écrire la mémoire de l’eau, cet élément qui efface autant qu’il préserve ?

5. L’eau sacrée : mythes, mystères et renaissances
Des sirènes envoûtantes aux fleuves des enfers, l’eau traverse les légendes et les croyances comme un fil sacré et mystérieux. Divinisée par les civilisations anciennes, investie de vertus magiques, elle incarne à la fois la vie et la destruction, la renaissance et le chaos. Bénédictions, ablutions, baptêmes : dans de nombreuses traditions, l’eau est purificatrice, elle relie les humains au divin, elle ouvre des passages entre les mondes. Source de récits mythiques et spirituels, elle invite à la contemplation autant qu’à la narration : peut-on aujourd’hui encore réinventer ces mythes, écrire l’eau comme révélation ou comme seuil vers un ailleurs, un renouveau ?

6. L’eau et le désir
L’eau est aussi un élément de sensualité et de transformation. Elle rafraîchit les corps, invite aux caresses des vagues, se mêle au souffle de l’amant. On pense aux bains antiques, aux fontaines des jardins où se chuchotent des serments, aux vapeurs qui s’élèvent dans l’intimité d’une alcôve ou aux romans libertins où se célèbre le plaisir des sens au bord des rivières. Comment traduire littérairement cette association entre l’eau et le désir, entre la fluidité et l’élan passionnel ?

7. L’eau et l’alcool
L’eau est la source de toute boisson, y compris de celles qui troublent les esprits et délient les langues. L’eau se change en vin, l’alcool enivre et ouvre des portes sur d’autres réalités. Peut-on écrire un texte où l’élément liquide devient ivresse, où le vin, la bière, l’absinthe, la verveine convoquent des visions, des rêves ou des regrets ? Sous la dynastie des Tang, Li Bai écrit : « Trancher l’eau avec une épée, elle coule encore plus ; Lever son verre pour dissiper le chagrin, il devient plus profond » ( 抽刀断水水更流,举杯消愁愁更愁 –李白《宣州谢朓楼饯别校书叔云》)

8. Prendre les eaux
On dit « prendre les eaux » comme on dit partir — partir en soi. C’est un geste ancien, un rite doux : s’immerger dans l’oubli, se confier à la tiédeur minérale, laisser le corps redevenir source. Là, dans le silence fumant des thermes ou le miroitement d’un ruisseau secret, l’eau délasse ce que le monde a trop tendu. Elle lave sans froisser, elle console sans parler. Prendre les eaux, c’est s’arracher au tumulte, retrouver un battement plus lent — le sien. Le sel, le soufre, la brume : autant d’éléments qui enveloppent l’être et le rendent à lui-même. Peut-être que l’on ne guérit pas, mais on apprend à écouter. Et dans cette écoute, l’eau parle : elle dit l’usure, le passage, la patience. Elle murmure qu’il faut apprendre à couler, à plier sans rompre, à renaître par dissolution.

Dans Mont Oriol, Maupassant fait des sources thermales un théâtre de passions, de renouveau et d’illusions. On y vient chercher la santé, on y trouve souvent autre chose : l’amour, la solitude, la vérité. Prendre les eaux, chez lui, c’est entrer dans un monde à la fois médical et métaphysique, où l’élément aquatique révèle les corps et les âmes.

Ainsi, prendre les eaux, c’est choisir l’oubli fécond plutôt que l’effort crispé. C’est, l’espace d’un instant, se souvenir que l’on vient de là — et qu’on y retournera.

9. L’eau : la musique et la danse
L’eau, par son mouvement et sa fluidité, inspire des rythmes et des harmonies qui résonnent dans toutes les cultures. Du clapotis d’une source aux grondements de l’océan, elle compose une symphonie naturelle où chaque goutte devient une note. Les compositeurs ont souvent cherché à imiter ou évoquer son chant : les ondulations des préludes et de La Mer de Debussy, le fracas des tempêtes dans Vivaldi, la douceur mélancolique la barcarolle d’Offenbach, la pièce musicale traditionnelle chinoise symbolisant l’amitié Hautes montagnes et eaux qui coulent ( 高山流水 ).  La voix de l’eau est tour à tour apaisante et menaçante, reflétant les émotions humaines et les paysages sonores de notre monde intérieur. Comment capturer cette musicalité dans l’écriture ? Peut-on imaginer un texte où l’eau devient partition, où ses flux dictent un rythme secret au récit ou au poème ?

L’eau et la danse partagent une essence commune : le mouvement. Qu’elle coule, tourbillonne ou s’évapore, l’eau évoque le geste dans sa forme la plus pure, une continuité sans heurt, une énergie fluide.

Dans la danse contemporaine, l’eau devient partenaire de scène. Les chorégraphes explorent sa résistance, sa légèreté et son imprévisibilité. Des spectacles comme Water Dance de Carolyn Carlson ou les performances aquatiques de Damien Jalet transforment la scène en un espace liquide, où les corps flottent, s’abandonnent et renaissent. La danse, baignée ou immergée, se fait métaphore de la métamorphose, du passage d’un état à un autre.

Dans les traditions classiques, l’eau inspire également le mouvement. Le ballet La Bayadère, avec son Royaume des Ombres, évoque une fluidité éthérée, tandis que les danses rituelles asiatiques, comme celles de Bali, imitent le clapotis des rivières et le va-et-vient des vagues.

L’eau, à travers la danse, devient langage : elle exprime la souplesse du corps, la puissance du flux, l’éphémère du geste. Elle transforme la scène en un espace organique, où le mouvement est à la fois élan et abandon, immersion et renaissance.

10. L’eau et le rêve
Miroir trouble de l’inconscient, espace onirique et mouvant où la logique s’efface…

En psychanalyse, l’eau est une image récurrente, souvent associée à l’inconscient, aux émotions profondes et aux désirs enfouis. Elle est liquide amniotique, retour à l’origine, mais aussi miroir trouble où se reflètent nos peurs et nos fantasmes. Rêver d’eau, c’est plonger dans l’inconnu, affronter ce qui sommeille en nous. Lac paisible ou mer déchaînée, l’eau traduit nos états d’âme, elle dissimule des secrets sous sa surface lisse ou tourmentée. Comment écrire un texte où l’eau devient le véhicule d’un voyage intérieur, un espace de révélation ou de métamorphose psychique ?

11. L’eau et l’architecture : les jardins et les villes d’eau
Les cultures orientales et occidentales ont chacune façonné des espaces où l’eau devient un élément esthétique et philosophique. En Orient, les jardins chinois et japonais intègrent l’eau dans une approche contemplative : les rivières sinueuses, les bassins calmes et les ponts de pierre ne sont pas seulement décoratifs, ils sont une invitation à la méditation et à l’harmonie avec la nature. L’eau y est perçue comme un miroir de l’âme et du monde, où la beauté réside dans l’éphémère et la simplicité.

À l’inverse, en Occident, notamment dans la tradition française des jardins à là Le Nôtre (Versailles, par exemple), l’eau est mise en scène de façon grandiose : bassins symétriques, fontaines spectaculaires, jets d’eau domptés par la main de l’homme. Ici, l’eau devient un signe de puissance, un symbole du contrôle absolu sur la nature, comme en témoignent les aqueducs romains ou les canaux de Venise et d’Amsterdam, véritables prouesses d’ingénierie.

12. L’eau et les arts contemporains
L’eau, fluide insaisissable, a toujours fasciné les artistes. Dans les arts contemporains, elle devient plus qu’un simple sujet : elle est une matière plastique, un symbole puissant et un outil de réflexion sur les enjeux écologiques et sociopolitiques.

Certains artistes utilisent l’eau comme médium principal. Olafur Eliasson, par exemple, joue avec les reflets et la lumière pour transformer l’espace à travers des installations immersives où l’eau est omniprésente (The Weather Project, Waterfall). D’autres, comme Anish Kapoor, l’intègrent sous forme de miroirs liquides ou de surfaces mouvantes, créant des œuvres où la perception du spectateur est en constante évolution.

L’eau est aussi un motif récurrent dans la photographie et la vidéo. L’artiste japonaise Rinko Kawauchi capture dans ses clichés l’éphémère et la fragilité de l’eau, tandis que Bill Viola l’utilise pour explorer les thèmes de la transformation et de la renaissance à travers des vidéos lentes et contemplatives.

Dans l’art urbain et les performances, l’eau devient un outil de dénonciation et de réflexion politique. L’artiste Ai Weiwei a utilisé des gilets de sauvetage et des embarcations pour alerter sur la crise des migrants, soulignant comment l’eau peut être à la fois une voie de passage et un tombeau. De même, des installations comme celles de Ned Kahn exploitent la dynamique de l’eau pour sensibiliser à l’environnement et au changement climatique.

L’eau, dans l’art contemporain, est donc bien plus qu’un élément naturel : elle est mouvante, poétique, politique. Elle invite à réfléchir sur la condition humaine, notre rapport au monde et les défis du XXIe siècle.

13. L’eau et la Chine
À l’occasion des 60 ans de relations diplomatiques entre la France et la Chine, nous proposons un axe spécial dédié aux essais et poèmes explorant l’image de l’eau en Chine, ainsi que son rôle dans les relations franco-chinoises.  

Les interactions littéraires entre la Chine, l’Asie et la France s’inscrivent dans une longue tradition. Judith Gautier, à travers Le Livre de Jade, a traduit des poèmes classiques chinois en français, les faisant ainsi découvrir au lectorat francophone. Théophile Gautier, quant à lui, a publié en 1846 Le Pavillon sur l’eau, un roman inspiré par l’Orient et dont l’intrigue se déroule en Chine. Plus tard, en 1965, Raymond Queneau s’est nourri de la pensée taoïste de Tchouang-Tseu pour écrire Les Fleurs bleues. En Chine, de grands écrivains ont également été influencés par la littérature française. Par exemple, Lu Xun s’est inspiré de Maupassant, tandis que les écrits de Zhang Ailing rappellent l’influence de Simone de Beauvoir. Yu Hua, quant à lui, a été marqué par le courant du Nouveau Roman et des auteurs comme Alain Robbe-Grillet.  

Aujourd’hui, des écrivains francophones d’origine chinoise mêlent la langue française et la culture chinoise, à l’instar de François Cheng, Gao Xingjian, Shan Sa ou Dai Sijie. Leurs œuvres incarnent un courant majeur de la mondialisation littéraire et témoignent du dialogue fécond entre ces deux traditions culturelles.

Assemblée générale

Nous avons le plaisir de vous convier à notre assemblée générale qui aura lieu le mardi 15 octobre à 17h30 / Amphi 220 Maison des sciences de l’Homme à Clermont-Ferrand.

Un verre sera offert à l’issu de la réunion et un repas permettra de poursuivre la soirée.

Inscription pour l’accès en distanciel ou le repas à l’adresse : contact@cercl.club

Assemblée Générale

Le CERCL vous convie à sa première Assemblée Générale pour l’année 2023-2024 !

Rendez-vous Mercredi 11 octobre 2023, à 19h00, au campus Gergovia salle 126 (ou en visioconférence : lien envoyé par mail aux adhérent.e.s).

À l’ordre du jour :

  • élection du nouveau bureau pour l’année 2023-2024
  • présentation des activités prévues cette année (projet de revue, sorties culturelles, ateliers d’écritures, soirées…)

Si tu n’as pas encore adhéré ou renouvelé ton adhésion, c’est le moment de le faire ici !

Assemblée générale du CERCL

L’assemblée générale du CERCL aura lieu le Jeudi 9 mars à 18h45. UFR LCSH – Salle 124 29 Boulevard Gergovia.
Nous évoquerons la restructuration de notre association et les projets à venir.